L’information et la communication au sein de la paroisse sont réalisées par des bénévoles, par deux supports :
L’Écho de Sioulet-Volcans, journal paroissial trimestriel gratuit sur papier (distribué dans toutes les boîtes aux lettres sauf celles avec mention « Stop à la pub », et disponible également en libre service dans les églises, ainsi que ci-dessous sur ce site Internet, où il peut être lu, agrandi, téléchargé, imprimé). Cette publication est rédigée par un comité de rédaction, sous l’autorité du curé directeur de publication, le Père Jean-Marc Couhert. Son équilibre économique est essentiellement assuré par les publicités. Merci donc à tous les annonceurs qui, par leur participation, permettent à ce journal paroissial d’exister.
Le site Internet que vous êtes en train de lire, mis en place en 2018 par une équipe de bénévoles sous la responsabilité du Père curé Jean-Marc Couhert, et avec le soutien actif du Diocèse. N’hésitez pas à faire remonter vos remarques et observations.
Journal Paroissial « L’Écho de Sioulet-Volcans » n° 60 (printemps 2020) ⇒ cliquez sur l’image de la page que vous voulez voir ; puis zoomez en cliquant sur la loupe.
Attention : tous les événements annoncés dans ce journal sont annulés jusqu’à la fin de la période de confinement.
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Présentation du journal ESV 60 en diaporama :
Journal Paroissial « L’Écho de Sioulet-Volcans » n° 59 (hiver 2019-2020) ⇒ cliquez sur l’image de la page que vous voulez voir.
⇒ ce document est en format « pdf » : vous pouvez donc le lire à l’écran, l’agrandir (pour les personnes malvoyantes), le télécharger, et même l’imprimer (page par page). Il est découpé en 4 parties pour des raisons de volume informatique.
Nous ne résistons pas au plaisir de vous rappeler cette magnifique « fable grammaticale » d’Yves Duteil, publiée dans l’Echo du Sioulet-Volcans n° 39 de septembre 2014 :
Quelle belle langue que la nôtre !
–
Loin des vieux livres de grammaire,
Écoutez comment un beau soir,
Ma mère m’enseigna les mystères
Du verbe être et du verbe avoir.
–
Parmi mes meilleurs auxiliaires,
Il est deux verbes originaux.
Avoir et Être étaient deux frères
Que j’ai connus dès le berceau.
–
Bien qu’opposés de caractère,
On pouvait les croire jumeaux,
Tant leur histoire est singulière.
Mais ces deux frères étaient rivaux.
Ce qu’Avoir aurait voulu être
Être voulait toujours l’avoir.
À ne vouloir ni dieu ni maître,
Le verbe Être s’est fait avoir.
–
Son frère Avoir était en banque
Et faisait un grand numéro,
Alors qu’Être, toujours en manque,
Souffrait beaucoup dans son ego.
–
Pendant qu’Être apprenait à lire
Et faisait ses humanités,
De son côté sans rien lui dire
Avoir apprenait à compter.
–
Et il amassait des fortunes
En avoir, en liquidités,
Pendant qu’Être, un peu dans la lune
S’était laissé déposséder.
–
Avoir était ostentatoire
Lorsqu’il se montrait généreux,
Être en revanche, et c’est notoire,
Est bien souvent présomptueux.
–
Avoir voyage en classe Affaires.
Il met tous ses titres à l’abri.
Alors qu’Être est plus débonnaire,
Il ne gardera rien pour lui.
–
Sa richesse est tout intérieure,
Ce sont les choses de l’esprit.
Le verbe Être est tout en pudeur,
Et sa noblesse est à ce prix.
–
Un jour à force de chimères
Pour parvenir à un accord,
Entre verbes ça peut se faire,
Ils conjuguèrent leurs efforts.
–
Et pour ne pas perdre la face
Au milieu des mots rassemblés,
Ils se sont répartis les tâches
Pour enfin se réconcilier.
–
Le verbe Avoir a besoin d’Être
Parce qu’être, c’est exister.
Le verbe Être a besoin d’avoirs
Pour enrichir ses bons côtés.
–
Et de palabres interminables
En arguties alambiquées,
Nos deux frères inséparables
Ont pu être et avoir été.
–
Et voici la morale à tirer de cette fable :
–
Oublie ton Passé, qu’il soit simple ou composé, comme tes intérêts.
Participe à ton Présent, pour que ton Futur soit Plus-que-Parfait…